Elodie Parcours D’Une Ado En Chaleur - Court Epilogue

Épilogue

Le lendemain matin, Élodie se réveille le corps fourbu de courbatures, et le cul en feu. Il faut dire que le quatuor d’ouvriers ne l’a pas ménagé. Double pénétration, double vaginale, et même une double anale, ils ont vraiment testé les limites de la gamine ces salauds.

Et pourtant, nue dans son lit, les jambes largement écartées sous son drap, la jeune fille se surprend à laisser son index errer le long de sa fente gourmande. « HUM ... » Elle se cambre d’un doux plaisir matinal, sa chatte est déjà en feu de si bon matin.

En douceur, se délectant de ce moment au réveil où tout est encore possible, elle enfonce son index entre ses lèvres humides. Le téton droit prisonnier de sa main libre qui l’étire et le tord, l’adolescente se caresse anticipant ce qu’elle va pouvoir faire de ce corps esclave et déjà en manque de désirs sexuels.

Pleine d’espoir pour cette douce journée à venir, elle décide d’interrompre son plaisir solitaire et se rend immédiatement sous la douche. Seule dans l’appartement, elle ne prend même pas la peine de se vêtir et traverse le salon dans son plus simple appareil.

Une fois revigorée par le jet bienfaisant et respirant le propre, elle retourne dans sa chambre et, après avoir attaché ses cheveux en une double natte retombant sur chacune de ses épaules, elle observe sa garde robe en vue de sélectionner sa tenue du jour.

Le regard malin et la libido à son paroxysme, ses yeux s’attarde sur la tenue du jour, elle prend conscience qu’elle ne pourra échapper à ses pulsions d’allumeuse. Sa mère a raison, elle n’est qu’une petite nympho juste bonne à ouvrir la bouche et écarter son cul pour encaisser toute sorte de queue.

En effet, elle jette son dévolue sur une petite robe en jean à fines bretelles et fermée sur l’avant pour neuf boutons. Elle se souvient ne l’avoir porter qu’une fois il y a deux ans et n’avait déjà pas osé la porter en public tellement elle était courte et serrée.



Ce matin, deux ans plus tard, engoncée dans ses formes généreuses, le vêtement n’en paraît que plus court. Dans l’impossibilité de fermer le bouton du haut, c’est court vêtue, c’est d’un pas décidé et perchée sur ses sabots qu’elle se rend au boulot l’esprit enjoué à l’idée de se faire baiser par ses nouveaux collègues.


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Merci a Silveradd pour m'avoir aidée à faire émerger mes fantasmes et les siens sur papier.
Libérateur et jouissif pour moi, j'espère qu'il en a été de même pour vous.

De nouvelles aventures pourraient arriver un jour...

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